Une fois la Michna mise par écrit, elle devient elle-même un sujet d’étude pour les générations suivantes de rabbins que l’on appelle les Amoraïm. Leurs discussions sur la Michna et sur ses liens avec la Torah écrite s’étalent sur plusieurs siècles et forment ce que l’on appelle la Guemara - גְּמָרָא. La Guemara a été rédigée non pas en hébreu mais en araméen, qui est la langue la plus parlée à cette époque au Proche-Orient.