אֵין כֵּאלֹהֵינוּ אֵין כַּאדוֹנֵנוּ
אֵין כְּמַלְכֵּנוּ אֵין כְּמוֹשִׁיעֵנוּ
מִי כֵאלֹהֵינוּ מִי כַאדוֹנֵנוּ
מִי כְמַלְכֵּנוּ מִי כְמוֹשִׁיעֵנוּ
נוֹדֶה לֵאלֹהֵינוּ נוֹדֶה לַאדוֹנֵנוּ
נוֹדֶה לְמַלְכֵּנוּ נוֹדֶה לְמוֹשִׁיעֵנוּ
בָּרוּךְ אֱלֹהֵינוּ בָּרוּךְ אֲדוֹנֵנוּ
בָּרוּךְ מַלְכֵּנוּ בָּרוּךְ מוֹשִׁיעֵנוּ
אַתָּה הוּא אֱלֹהֵינוּ אַתָּה הוּא אֲדוֹנֵנוּ
אַתָּה הוּא מַלְכֵּנוּ אַתָּה הוּא מוֹשִׁיעֵנוּ
אַתָּה הוּא. שֶׁהִקְטִירוּ אֲבותֵינוּ לְפָנֶיךָ. אֶת קְטרֶת הַסַּמִּים
Nul n’est comme notre Dieu,
Nul n’est comme notre Maître,
Nul n’est comme notre Souverain,
Nul n’est comme notre Libérateur.
Qui est comme notre Dieu,
Qui est comme notre Maître,
Qui est comme notre Souverain,
Qui est comme notre Libérateur.
Rendons grâce à notre Dieu,
Rendons grâce à notre Maître,
Rendons grâce à notre Souverain,
Rendons grâce à notre Libérateur.
Loué soit notre Dieu,
Loué soit notre Maître,
Loué soit notre Souverain,
Loué soit notre Libérateur.
Tu es Celui pour qui nos ancêtres allumaient l’encens.
EXPLICATION
Cet hymne est chanté vers la fin de l’office du matin (ou de l’office de Moussaf du Chabbat et des fêtes). Dieu y est nommé de quatre façons différentes : « notre Dieu », « notre Maître », « notre Souverain », « notre Libérateur ».